"A moins qu’ils ne fassent la pénitence..." A travers la marche de l’histoire humaine, nous trouvons souvent répétée l’histoire de l’homme s’égarant du chemin de la Vérité et de la lumière et la bonté que Son Tout-Puissant Créateur plaça devant lui. Et chaque fois que les hommes de Dieu se sont égarés, Il leur a manifesté Son Amour Infini et Sa Miséricorde en leur envoyant un messager pour les prévenir de retourner sur le droit chemin, et s’ils ratent de répondre à Son Divin Amour, de se préparer pour le châtiment demandé par Sa Divine Justice. Ensuite nous voyons dans l’Ancien Testament les recommandations des prophètes de Dieu et des anges pour un être humain coupable—soit pour amender leurs vies et purifier eux-mêmes ou, en refusant cela, être purifié par le châtiment purificateur qui pourrait les arriver. Ensuite aussi, nous apprenons, dans les répétitives folies humaines qu’en rejetant ces messagers envoyés du Ciel et leurs mises en garde, ils apportèrent en eux-mêmes de terribles calamités et souffrances. Avec l’arrivée du Divin Sauveur pour racheter les âmes déchus, plusieurs voudront que nous pensions à eux mais la juste colère de Dieu n’est plus nécessaire pour racheter les hommes comme cela s’était déroulé dans un plateau de la perfection Teilhardienne qui fit ses banales débats entre la chair et l’esprit, des choses du passé. Comment rapidement ces pauvres modernistes oublièrent-ils les sermons du Christ ! Sermons qui révèlent que Sa venue fut pour ouvrir les Portes du Ciel, de racheter les âmes immortelles, d’enseigner aux hommes le chemin pénible du salut éternel, l’étroit chemin du calvaire. Jamais Ses sermons n’avaient permis à quelqu’un de penser que la juste colère de Dieu n’existe plus, ni que les hommes devaient ne plus endurer les luttes entre la chair et l’esprit qui résultaient de la chute originelle. Aucun n’avait adoucit l’assurance que ceux qui s’égarent du droit chemin et ne se repentent pas, souffriraient de la punition suffisante de la malédiction éternelle. Plutôt fit-Il plusieurs fois prévenir que Son royaume n’était pas dans ce monde, que Ses vrais disciples ne peuvent et ne doivent pas vivre dans l’esprit de ce monde, et que seul ceux qui rejettent l’esprit du monde et ses séductions pourraient être sauvés ! Comment différente est l’évangile des modernistes libéraux de l’Evangile de Jésus Christ ! "Nul ne peut servir deux maîtres… Celui qui aime le monde Me hait ; celui qui M’aime hait le monde." (Matt. 6 :24) … "Si quelqu’un veut me suivre, QU’IL RENONCE A LUI-MEME, QU’IL SE CHARGE DE SA CROIX, et qu’il Me suive." (Marc. 8 ;34). L’appel du Christ à ses vrais disciples est l’appel de la croix. "A moins que vous ne fassiez la pénitence, vous périrez aussi." (Luc 13 :5) Paroles dures, celles de l’Evangile Chrétienne, qui nous préviennent que si nous ne faisons pas de pénitence, ou ne mortifions pas notre chair, ou vaincre notre amour personnel, ou encore mourir pour nous-mêmes afin que nous puissions vivre en Christ, nous sommes ASSURE de la damnation éternelle. Est-ce là des paroles suaves de l’utopisme Teilhardien ?! Ensuite les siècles du vrai temps du Christ nous ont jusqu’à présent fournis une multitude de saints qui ont illustré l’immuable vérité de la pratique de la pénitence et la mortification comme une condition nécessaire dans notre effort pour la sainteté. Comment évident est-ce alors, que la fausse évangile soit si répandu de nos jours—le refus de la pénitence, la mortification, et même de la croix; le fou se précipite à embrasser et à "s’adapter" à "l’esprit du monde" (même s’il est païen); le refus implicite de la bataille entre la chair et l’esprit émanant d’un refus du péché originel lui-même; la glorification du moi et le rejet des sermons des apôtres de "mourir" pour nous-mêmes; l’omission subtile de la passion dans l’enseignement "moderne" et même la suppression des éléments du calvaire dans la Messe—tout cela constituent une contradiction blasphématoire des véritables sermons du Christ Lui-même ! De qui voulons-nous suivre—il faut bien reconnaître les "durs proverbes" de Jésus Christ, Ses apôtres, et Ses saints à travers les siècles, OU les faux "christs" de nos jours qui prêchent bien d’avantage une évangile "confortable", l’évangile du monde, qui est une antithèse de l’évangile de Jésus Christ ! S’il est le Fils unique de Dieu que nous devons suivre, alors nous devons accepter, comme lui ou pas, que nous ne pouvons pas être sauvé à moins que nous ne fassions de la pénitence—à moins que nous ne mortifions notre chair, purifier nous-mêmes des péchés mondains, et mourir pour nous-mêmes tel que nous ne puissions vivre en Christ. Autant une difficile vérité n’est pas facile à accepter pour nous qui vivons dans une société pourrie par le cancer du matérialisme et de la glorification de la chair ! La dépravation de notre ère sent l’odeur infecte du triomphe Luciférien. Même les élus ont été trompés par "le prince de ce monde" (comme le Christ l’appelle) selon ses évangiles sataniques de la fausse charité et le rejets des Divins préceptes. Et une fois encore tel que Dieu l’a témoigné à Son peuple s’égarant du vrai chemin, Il envoya au genre humain un messager de Sa miséricorde et de Son amour—Sa très chère Mère ! A Lourdes, à La Salette, à Fatima, Elle répéta les mises en garde des prophètes et des saints : « Je suis venu demander aux hommes de changer leurs vies. Les hommes doivent cesser d’offenser Dieu Qui est déjà assez offensé. » « Si mes demandes ne sont pas respectées, la justice de Dieu châtiera le monde… les guerres, la famine, les carnages, la confusion dans l’Eglise, Satan régnera dans les hautes places… » D’ailleurs les hommes ont choisi de mépriser les mises en gardes de la Miséricorde Divine et une fois encore ils doivent s’attendre à la Justice Divine, pour l’avoir volontairement choisit ! Purifiez vous-même ou soyez purifié ! Pour les derniers fidèles de Dieu dans cet effrayant âge de l’apostasie, de la perversion, et de la victoire satanique, il est plus nécessaire que jamais qu’ils fassent attention aux sermons de leur Divin Sauveur et de Sa Mère Miséricordieuse : un sincère amendement de la vie, accroître la prière (Notre Dame demanda spécialement la prière quotidienne du Rosaire avec une méditation des mystères), se consacrer à notre devoir quotidien, la consécration au Sacré Cœur de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie, et, comme l’avait plaidé Notre Dame à Lourdes : « Pénitence! pénitence! Pénitence ! » En réalité, chers amis, si nous voulons oser espérer de persévérer dans cet âge de l’antéchrist, nous devons retenir dans nos cœurs et appliquer dans nos vies quotidiennes, les sermons des Evangiles! A MOINS QUE VOUS NE FASSIEZ LA PENITENCE, VOUS DEVREZ AUSSI TOUS PERIR. Dégagez-vous de ce siège facile, éteignez la télévision, et descendez sur vos genoux ! Le temps ne permet plus "la vie facile" pour ceux qui voudraient être sauvé. Si vous ne rejetez pas l’esprit du monde, vous avez choisi Satan comme votre maître—si vous continuez à vivre par les normes matérielles de notre société moderne, vous pourrez perdre votre âme—parce que "personne ne peut servir deux maîtres" ! Qui est votre maître ? Christ ou le monde ? Quelle pénitence quotidienne et mortification de la chair et de l’ego pratiquez-vous pour que vous ne puissiez pas "aussi PERIR" ? Donnons à ces questions une sérieuse réflexion si nous voulons résister aux pièges diaboliques présent aujourd’hui dans tous les cotés ! Et, finalement, prions pour la grâce de vivre sans défaillance uni à notre Bien-aimé Crucifié et Sa Mère très Douloureuse ! NEW: Alphabetical Index Visit also:www.marienfried.com |